6 Décembre 2018
Enfin de compte, il faudrait presque se méfier du temps qui passe. A jouer l’oisif on s’aperçoit que celui-ci nous file entre les doigts comme si de rien n’était. Et puis, certainement, un jour, hop y’en a plus.
En tous cas, le printemps puis l’été se sont enchaînés et même la crainte des petites journées d’automne a disparu.
Ou bien c’est peut-être ce défilé de petits jours qui provoque cette impressionnante ivresse du temps.